Une balade simpliste [PV la première personne qui veux]

La nuit était tomber sur la ville, et que l'hivers rendait les nuit glaciale, je vent a vous glace les os, et arreter votre sang, si vous ne vous etes pas habiller correctement, une silouhette au loin, dans le fin fond des ruelles comme une ame perdue, se baladait dehors. Les douzes coups de minuit était passer il y a deja quelques temps, pour rendre au silence une place triomphante. L'ombre finit par sortir des ruelles, et, laissa ses silouhettes se montrer. Un homme, d'une taille plutot vertigineuse, roulant au tour des deux mètres, ses cheveux court bleu sombre par la nuit, en bataille ; des vetements très simpliste, un jean's casser au niveau des genoux principalement, du a l'usur, de couleur noir, lancant voir par les troue, que sa jambe droite n'était qu'une jambe artificielle.Puis il portait aussi un grand T-short, noir, avec une tête de chat rousse dessus, et pour couronner le tout, des chaussures noirs, a moitier peter, et enfin une guitare noir sur le dos, recouvrant un sac a dos un peu tasser.
Le jeune homme se laissait guider par ses pas, qui le mena jusqu'au port de la ville. Il alla jusqu'au bord des quaie, pour admirer les vagues de la mer, de son regard bicolors. IL n'avait pas prit le peine de les cacher avec ses lentilles colorer. De son regard perdu il repensait a son professeur de musique, il ne faisait que hanter son esprit depuis qu'il etait arriver ici. Il ferma les yeux quelques secondes et sentit l'aire caresser doucement son visage, il se mordilla alors la lèvre, avant d'ouvrire ses yeux. Sa lèvre toujours entre ses dents, qui glissait doucement pour échapper a l'emprise de celles ci. Puis par la suite, le jeune homme s'assit doucement sur le bords, sans quitter l'eau des yeux, mais il finit par retirer sa guitare, son sac, puis ses chaussures et son T-shirt, ne laissant que son pantalon sur lui. Ce qui laissait son tatouage qui liu prenait tout le dos a la vu de tous. Puis plongea dans cette eau geler, qui ne faisait que glacer ses pensers, qu'il trouvait trop presente.
Après quelques cheures de beignade il se rapprocha du bords ou se trouvait ses affaires, remonta sur le quaie, prit une serviette dans son sac, puis mit son T-shirt, et un veste qui elle aussi se trouva dans le sac a dos. Et enfin il prit la guitare, tenu gaucher, et commenca a jouer sous cette nuit sans etoile, que ses yeux bicolors adorait temps admirer. Mais dès que venu les première notes, Tiphaine ferma ses yeux se laissant bercer...

"Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...

Si tu vois,
Flotter une larme bohème
Dans les yeux, mon cœur s'y promène
C'est qu'alors je pense à toi

C'est comme ça,
Le bonheur n'est pas géomètre
J'ai pas de plans à te soumettre,
Je sais pas le faire marcher droit

M'en veux pas
Si je ne peux rien te promettre
C'est que je voudrais tout peut-être
Et ça ne me suffirait pas

Pas à pas
Je parle à tâtons et j'effleure
Tous ces mots qui reprennent couleur
Quand je les pose sur toi

Et je vois
Les rêves qui hésitent encore
Prendre la forme de ton corps
Et je souris malgré moi

Jusque-là
J'croyais à peu près me connaître
J'ai tout jeté par ta fenêtre
Pour mieux m'apprendre dans tes bras

M'en veux pas
Si je ne sais rien te promettre
À part dans ces phrases muettes
Que je vagabonde sur toi

Laisse-moi le temps de t'aimer sans penser au-delà
Tu me souris et tu te tais, mais tu ne comprends pas...
Laisse-moi, le temps de trouver l'empreinte pour mes pas
À force de t'avoir cherchée, j'ai un peu peur de moi

Peur de moi...
Est-ce que ce n'est pas autre chose
Tu m'apprivoises et je dépose
Mes ombres fanées derrière moi

Peur de quoi
Peur de l'avenir qui se glisse
Entre ma peau et mes caprices
Quand je me perds au bord de toi

Peur de quoi
Tout simplement de reconnaître
Que tout est là, dans ces peut-être
Qui me chavirent autour de toi

Peur de moi...
Il n'y a rien d'autre à comprendre
Toi tu voulais des mots plus tendres,
Et moi... Je te parle de moi

Il y a
Dans mes refus de dire je t'aime
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là...
Et que dans tous ces mots-là..."